L’audiovisuel public appartient à tous les Français
ASLA
Il est financé par nos
impôts. Il doit informer, pas militer, pas militer à gauche.
Sous la présidence de Delphine Ernotte, France Télévisions cumule les dérives financières, les soupçons de pressions et les prises de position politiques ouvertes, au détriment du pluralisme et de la confiance des Français.
Un rapport récent de la Cour
des comptes décrit une situation financière « critique », avec plus
de 80 millions d’euros de déficit net accumulés en quelques années, alors que
France Télévisions reçoit environ 4 milliards d’euros d’argent public
par an. Dans le même temps, des révélations font état de séjours très
coûteux lors de déplacements officiels et d’un cadre social hors de contrôle.
Parallèlement, la commission
d’enquête parlementaire sur « la neutralité, le fonctionnement et le
financement de l’audiovisuel public » a mis au jour entre autres des
soupçons de pression pour retarder la publication d’un rapport
accablant sur la gestion de France Télévisions, jusqu’après la
reconduction de Delphine Ernotte à la tête du groupe. Même sous serment, les
réponses obtenues ne dissipent pas les interrogations.
Sur le plan éditorial, le
déséquilibre est tout aussi préoccupant.
Une étude indépendante a récemment montré que les voix de droite sont ultra-minoritaires sur les antennes du service public, alors même qu’il est financé par tous les Français. Delphine Ernotte a publiquement qualifié CNews de « chaîne d’extrême droite », tout en revendiquant la neutralité de France Télévisions. Dans l’affaire Legrand-Cohen, la direction a minimisé des échanges révélant un entre-soi politico-médiatique, tout en attaquant les médias qui avaient osé diffuser ces images.
Ces prises de position ne sont
pas des dérapages isolés. Elles traduisent une conception militante du
service public : l’argent de tous sert une ligne idéologique
clairement marquée à gauche, tandis que les médias de droite sont stigmatisés
et que les voix patriotes sont marginalisées.
Nous refusons que :
·
l’argent public serve à combler des déficits structurels
et des dépenses contestées, sans remise en cause de la direction ;
·
le service public se permette d’insulter
ou de discréditer des médias concurrents parce qu’ils ne pensent pas «
comme il faut » ;
· la liberté d’expression des patriotes, des conservateurs et de tous ceux qui contestent l’idéologie dominante soit traitée comme un danger à éliminer.
Face à cette situation, la
responsabilité première incombe à la présidente de France Télévisions.
Nous, signataires de cette
pétition :
·
considérons que Delphine Ernotte n’est plus
en mesure de garantir la neutralité, la bonne gestion et l’impartialité que
l’on est en droit d’exiger d’un service financé par l’argent public ;
· demandons sa démission immédiate de la présidence de France Télévisions
L’ASLA se mobilise pour
défendre ceux qui subissent la censure, le harcèlement judiciaire et les
attaques idéologiques parce qu’ils ne pensent pas « dans la bonne direction
». Nous refusons que l’audiovisuel payé par tous
devienne l’instrument politique d’un camp.
Signez et partagez cette
pétition pour faire entendre la voix des Français qui refusent de financer, par
leurs impôts, un appareil de propagande déguisé en service public.
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