Nous sommes à deux ans
d’une élection présidentielle à laquelle Emmanuel Macron ne pourra pas se
présenter. Que laissera-t-il derrière lui?
Un champ de ruines fumantes.
Il a tout abîmé. Il a détruit la société en se rêvant alchimiste. Tantôt
faustien, tantôt prométhéen. Promettant à son peuple “vous serez comme des
dieux”, à l’image du serpent dans la Genèse. Car il croit à l’homme désaffilié,
à l’homme sans héritage. L’homme de sable.
Il a détruit l’État régalien,
qui n’existe plus. Quand il appelle les Français au “devoir de vigilance”, cela
signifie: “L’ État ne peut plus rien pour votre sécurité. Méfiez-vous,
retournez-vous dans la rue.” Nous ne bénéficions plus d’un État protecteur.
C’est un État démissionnaire.
Macron a détruit le corps
préfectoral, colonne vertébrale du pays. Il a détruit le corps diplomatique,
dépositaire de notre tradition politique.
Enfin, il a abîmé la nation.
Son concept fumeux de “souveraineté européenne” revient à dire que les
décisions ne doivent plus être prises à Paris, mais dans une gouvernance
mondiale, transmondialiste. Il se situe dans la lignée de Jean Monnet.
Provoquer des crises, s’y engouffrer, instrumentaliser la peur pour asseoir le contrôle et la surveillance. Voilà ce qu’est Emmanuel Macron : un contrôleur du chaos.
Nenhum comentário:
Postar um comentário
Não publicamos comentários de anônimos/desconhecidos.
Por favor, se optar por "Anônimo", escreva o seu nome no final do comentário.
Não use CAIXA ALTA, (Não grite!), isto é, não escreva tudo em maiúsculas, escreva normalmente. Obrigado pela sua participação!
Volte sempre!
Abraços./-