|
Chers abonnés,
Depuis la sortie de notre dernier
magazine, « Collabos, ces maires complices de l’islamisme », nos ventes
ont littéralement explosé !
Ce formidable succès est loin d’être
anodin : il s’inscrit dans le cadre d’une montée en puissance majeure
de votre média, avec toujours plus d’enquêtes, d’informations et de
révélations.
L’an dernier, nous imprimions 30 000
exemplaires pour les kiosques : désormais, c’est quasiment le double
puisque nous avons réalisé un tirage de plus de 55 000 exemplaires pour
ce numéro.
Évidemment, la contre-offensive ne
s’est pas fait attendre puisque près de 3 maires ont déjà porté plainte
contre nous, alors même que nos enquêtes sont sourcées avec de
nombreuses preuves à l’appui. Mais rien d’étonnant quand on voit la
complaisance avec laquelle la presse locale fait partie d’un système
bien rôdé pour maîtriser l’omerta sur la construction de mosquées à des
fins clientélistes, parfois dans une totale opacité.
Pendant que nous avons ouvert de
nouveaux chantiers d’enquêtes avec ce magazine, nous subissons encore
et nous battons face aux différentes offensives enclenchées depuis 9
mois, suite à la parution de notre numéro « Invasion migratoire, les
coupables », dans lequel nous révélions pour la première fois les
avocats et tribunaux qui facilitaient très clairement l’accueil de
clandestins et en faisaient un véritable business.
Depuis début septembre, en tant que
directeur de la publication de Frontières, j’ai été ainsi mené devant
plus de 6 tribunaux, de Marseille à Bobigny en passant par Rennes ou
Saint-Brieuc. D’autres procès sont encore en attente. Que nous
reproche-t-on ? D’avoir tout simplement informé le grand public.
Face à ces procédures dans lesquelles
des dizaines d’avocats se sont joints, allant même jusqu’à organiser
une manifestation de 100 avocats à Marseille dans le tribunal pour
mettre la pression sur la justice et mon avocat Maître Frédéric Pichon,
les syndicats se sont également joints à la manœuvre : avec le Conseil
national des barreaux, le Syndicat des avocats de France ou encore le
bâtonnier national.
Je suis très heureux de vous annoncer
que nous avons déjà remporté une première victoire face à trois avocats
bretons, devant le tribunal de Saint-Brieuc, pourtant aidés par le CNB,
le SAF et le bâtonnier. Si la presse locale et l’AFP étaient présents
en nombre, s’attendant à ma condamnation, ils ont été dépités de voir
que nous remportions ce procès !
Vous le savez également, l’islamiste
fiché S qui me menaçait de mort a été jugé et déclaré coupable, et
condamné à un an de prison ferme. Il est donc aujourd’hui en prison.
Nous nous battons chaque jour à vos
côtés et pour vous.
L’ADN de Frontières, c’est
l’investigation et c’est la raison pour laquelle le succès de ce
magazine est une formidable nouvelle ! Des milliers d’exemplaires ont
déjà été écoulés.
D’autres enquêtes sont en cours, menées
brillamment par Jules Laurans. Si nous avons démarré une année en
trombe, avec 250 millions de vues cumulées en septembre, un succès
inespéré de notre radio, une progression de plus de 150 000 abonnés sur
les réseaux sociaux, et le dépassement des 13 000 abonnés payants, nous
devons aller encore plus loin pour structurer nos enquêtes, étudier
tous les sujets qui nous sont proposés. Car si nous ne le faisons pas,
qui le fera ?
Surtout, merci à vous, nos abonnés.
C’est grâce à votre fidélité et à votre engagement que nous pouvons
continuer à enquêter librement, à publier nos révélations et à défendre
la liberté d’informer malgré les menaces judiciaires et physiques
reçues chaque jour.
En attendant, savourons cette victoire
ensemble : elle nous oblige. Nous sommes désormais à même
d’investiguer, de publier, et de porter seuls nos enquêtes qui sont
parfois trop sensibles pour être portées par d’autres.
Vous avez été des milliers à être
scandalisés par nos révélations dans le magazine « Collabos » et
pourtant, le service public n’en a parlé que pour nous vilipender.
On continue, vous pouvez compter sur
notre engagement !
Et nous savons que nous pouvons compter sur vous.
Merci à tous pour votre
fidélité et votre soutien. Erik Tegnér |
Chers amis,
ResponderExcluirCinq maires sur lesquels notre média a enquêté pour des compromissions avec l’islamisme seront auditionnés aujourd’hui à 18h, dans le cadre de la commission d’enquête parlementaire sur les liens entre partis politiques et islamisme.
Cette audition est l’occasion de remettre au centre les faits et les preuves que nous avons réunis avec le pôle d’enquête de Frontières sur ces maires, mettant en évidence leur clientélisme mais surtout leur laxisme face à l’islamisme.
La première de ces maires, c’est la maire Horizons d’Albi, Stéphanie Guiraud-Chaumeil. Dans les faits, elle a mis à disposition, pendant plusieurs années, un local municipal de 60 m² gratuitement pour une école coranique organisant des conférences liées à l’islamisme. En décembre 2022, un séminaire sur le Coran a été animé par une étudiante de l’Institut Européen des Sciences Humaines (IESH) de Château-Chinon. En mars 2023, une visioconférence sur le Ramadan a été donnée par Hassan Younes, professeur à l’IESH et imam lié à la confrérie des Frères musulmans. Cette mise à disposition, illégale depuis décembre 2021, a perduré jusqu’à ce que notre média révèle l’affaire, poussant la maire à modifier le contrat.
Pour rappel, l’IESH a été dissous en septembre 2025 par le ministre Bruno Retailleau pour avoir propagé un islam radical et légitimé le djihad armé, notamment via des conférenciers comme Youssef al-Qaradawi.
Par ailleurs, en février 2023, l’association de la mosquée d’Albi, bénéficiaire d’un terrain vendu par la mairie, a relayé sur sa page Facebook un appel aux dons pour l’association toulousaine Al Miaraj, dirigée par Djamel Sekkak. Ce dernier, propriétaire d’une entreprise de pompes funèbres islamiques, avait été mandaté en 2012 par la famille de Mohammed Merah pour rapatrier et inhumer le corps du terroriste responsable des attentats de Toulouse et Montauban.
Autre maire entendu : François Astorg, maire écologiste d’Annecy. Le 29 septembre 2025, avec le conseil municipal d’Annecy, il a validé la vente d’un terrain de 2 560 m² à une association porteuse d’un projet de nouvelle mosquée, obligeant le Secours populaire, actuel occupant, à quitter les lieux d’ici 2026. Le projet inclut potentiellement la construction d’un minaret. Par ailleurs, la mosquée CIMG, gérée par la Communauté islamique du Millî Görüş, un mouvement islamiste turc fondé par Necmettin Erbakan, prospère sans opposition de la mairie. Ce mouvement est cité dans des rapports officiels pour ses activités islamistes et son rôle dans l’ingérence turque en France.
Mais il n’est pas le seul à laisser prospérer des courants islamistes. Christian Dupessey, maire divers gauche d’Annemasse, laisse se développer une mosquée affiliée au Millî Görüş sans s’y opposer, tout en continuant à vendre un terrain pour la construction d’une nouvelle mosquée, alors que quatre lieux de culte musulmans existent déjà dans cette petite ville et ses environs.
ExcluirAutre maire auditionnée, la maire de Saint-Julien-en-Genevois, Véronique Le Cauchois, laissez-moi vous raconter son histoire.
En 2020, la maire s’est opposée à la cession d’un terrain à une association de mosquée au profit d’un garage automobile. En décembre 2023, lors d’un conseil municipal, 160 membres de l’association musulmane ont silencieusement envahi la salle pour exiger le retrait de cette délibération. Sous cette pression, la maire a cédé : le 20 mars 2025, le conseil municipal a décidé d’attribuer le terrain à la mosquée, et non au garage. Elle prétend aujourd’hui n’avoir reçu aucune pression sur le dossier. C’est faux.
Enfin, le maire divers droite de Thonon-les-Bains, Christophe Arminjon.
À Thonon-les-Bains, trois projets de mosquées sont portés par des associations cultuelles : l’Association des musulmans de Thonon (AMT), l’Association des musulmans du Chablais (AMC) et l’Union culturelle turque de Thonon (UCTT). Deux permis de construire ont été accordés, en octobre 2024 pour l’AMC et en mars 2025 pour l’AMT.
Le projet de l’UCTT reste en attente d’instruction, suscitant l’inquiétude des habitants.
Je serai moi aussi auditionné demain à 18h30 à l’Assemblée nationale dans le cadre de cette commission et je pourrai exposer tous les éléments de preuve que nous avons sur les liens entre les partis politiques et l’islamisme.
Amitiés,
Jules Laurans, rédacteur en chef de Frontières