Guy Millière
La nouvelle est tombée mercredi 29 mars, le
procureur gauchiste du comté de New York Alvin Bragg a décidé d’inculper Donald
Trump.
Il a choisi de garder les
motifs secrets jusqu’au mardi 4 avril, jour où il entend faire procéder à
l’arrestation de Donald Trump pour lui notifier officiellement sa décision. Il
a obtenu l’aval d’un grand jury, mais comme l’a dit Rudy Giuliani, à New York,
un grand jury peut donner son aval à l’inculpation d’un sandwich si un
procureur dit que le sandwich est Républicain.
C’est sans aucun doute la
violation la plus grave de l’appareil judiciaire américain depuis la fondation
du pays il y a plus de deux siècles. Quels que soient les motifs qui seront
présentés mardi, il est établi que ces motifs seront frelatés. Les motifs
pourront se révéler davantage que frelatés s’ils reposent, comme c’est
probable, sur de faux documents ou de faux témoignages. Quand les limites sont
franchies, il n’y a plus de limites. Comme je l’ai déjà écrit, le procureur
Bragg s’est fait élire à son poste avec un seul élément dans son programme, sa
volonté effrénée de jeter Donald Trump en prison. Depuis qu’il est procureur,
il relâche des criminels et fait ainsi monter la criminalité à New York. Et il
poursuit son obsession anti-Trump. Quand il parle de Trump, la haine est
visible sur son visage. Trump l’a qualifié de criminel et il a raison : un
procureur qui viole la loi est un criminel, et Alvin Bragg en relâchant des
criminels, viole la loi. En s’en prenant à Trump comme il le fait, il viole
aussi toutes les procédures établies.
Et il importe de regarder la réalité en face. Il ne peut pas faire ce qu’il fait sans avoir l’assentiment du ministère de la Justice et donc de Merrick Garland, l’abominable personnage que ceux qui gèrent l’administration Biden ont installé au poste de ministre de la Justice. Il ne peut pas non plus faire ce qu’il fait sans avoir l’assentiment de l’administration Biden, et celui de Joe Biden lui-même qui, dans ses moments de lucidité, ne peut ignorer ce qui se passe et ce qui se décide dans son pays. Un Président des Etats-Unis prête serment sur la Bible le jour où il est intronisé, et jure de défendre la Constitution des Etats-Unis. En laissant Merrick Garland consentir et en laissant Alvin Bragg faire ce qu’il fait, Biden piétine la Constitution des Etats-Unis et ses dix premiers amendements, qui constituent le Bill of rights.
C’est d’une gravité totale. Le
Parti Démocrate est devenu un parti totalitaire et l’est devenu sous Barack
Obama. Les pratiques et les propos de ses membres dirigeants depuis que Donald
Trump a été élu président ont été essentiellement des pratiques et des propos
crapuleux qui n’ont cesse de violer la Constitution, le Bill of Rights, les
règles de fonctionnement du Congrès, les règles électorales. Le Parti Démocrate
a par deux fois utilisé la procédure de destitution d’un président en utilisant
contre Donald Trump de faux documents et de faux témoignages. Il a utilisé la
pandémie pour tenter de ravager l’économie américaine et pour utiliser les
votes par correspondance aux fins de mettre en place la plus grande fraude
électorale jamais réalisée dans un pays démocratique. Il a utilisé la mort par
overdose d’un petit truand à Minneapolis pour lancer la plus grande vague
d’émeutes qu’aient connue les Etats-Unis. Il a organisé les événements du 6
janvier 2021 aux fins de pouvoir qualifier les soutiens de Trump de
« terroristes intérieurs » et en faire emprisonner des centaines. Il a installé
dans plusieurs endroits du pays des procureurs gauchistes de l’étoffe sale
d’Alvin Bragg, avec l’aide financière du milliardaire maléfique George Soros,
et il utilise un procureur pour mettre en examen sur des bases inexistantes ou
falsifiées un ancien président des Etats-Unis qui est aussi le favori de l’élection
présidentielle de 2024.
L’administration Biden a à sa
tête un homme sénile, corrompu, acheté par la Chine, installé au pouvoir de
manière frauduleuse, et ne cesse de perpétrer des crimes contre les Etats-Unis,
à tous les niveaux et sur tous les plans imaginables, et elle fait tout son
possible pour faire reculer la liberté sur la planète (quand bien même elle a
été contrainte de soutenir l’Ukraine, elle a, sur de nombreux plans, une
manière étrange de pratiquer ce soutien : elle n’a pas donné à l’Ukraine
jusqu’à présent les moyens pleins et entiers de gagner). Elle est derrière la
tentative de coup d’Etat contre la démocratie israélienne.
Elle montre sa volonté,
qu’elle partage avec le Parti Démocrate, de faire des Etats-Unis un pays à
régime de parti unique.
Elle sait que Donald Trump
sera le candidat Républicain en 2024 si rien ne l’arrête, et elle tente de le
faire tomber de la manière la plus ignoble qui soit. Elle sait que si Donald
Trump est candidat, dès lors que les possibilités de frauder dans les Etats où
le Gouverneur est Républicain seront considérablement réduites (je reviendrai
sur le sujet), Donald Trump a toutes les chances de gagner. Elle entend le
faire jeter en prison pour qu’il ne puisse pas retrouver la présidence. J’en
viens à penser que si elle pouvait le faire abattre physiquement par un tueur à
gages, elle le ferait.
Je pense que ce qu’elle fait
en ce moment ne fonctionnera pas. Je pense qu’au contraire, elle renforce les
chances de Donald Trump.
Le procureur gauchiste Alvin
Bragg a la rage. L’administration Biden a la rage elle aussi. Le Parti
Démocrate lui-même à la rage. Les propos de ses dirigeants sont aussi imprégnés
de haine que le visage d’Alvin Bragg quand il parle de Trump. Ces gens ne sont
plus rationnels. Ce sont des fanatiques.
Des Américains sont
contaminés, mais ils sont minoritaires. La population américaine s’aperçoit de
la violation de la justice, et selon les sondages, 64 pour cent des Américains
disent que les poursuites contre Trump constituent un dévoiement politique de
la justice aux Etats-Unis. Le soutien des Américains à Trump ne cesse de monter
en puissance.
Il importe néanmoins de
prendre les fanatiques et les enragés au sérieux : les fanatiques et les
enragés sont des gens dangereux. D’autres inculpations attendent Trump, à
Atlanta et à Washington. Fanatiques et enragés entendent frauder à nouveau et
si déclencher des émeutes à nouveau leur parait utile, ils le feront.
Ecarter le danger qu’ils
incarnent est un impératif absolu, mais il faut s’attendre à tout de leur part,
y compris au pire.
Le titre du dernier livre de David Horowitz est plus que jamais d’actualité : Final Battle. The Next Election Could Be the Last*. La bataille finale. La prochaine élection pourrait être la dernière. (Les explications que je donne dans mon livre Après la démocratie ?* vont dans le même sens que celles données par David Horowitz, et sont indispensables à quiconque veut comprendre ce qui se joue). Si les fanatiques et les enragés parvenaient à gagner, la prochaine élection présidentielle américaine pourrait être la dernière.
La machine à diffamer
constituée par tous les médias de gauche américains est en marche et tourne à
plein régime.
J’ai parcouru la presse
française : on continue en France à reprendre presque mot pour mot ce que
dit la machine à diffamer américaine et à reproduire les diffamations à
l’identique. A toutes fins utiles, je redis ce que j’ai déjà dit sur le sordide
dossier monté par Alvin Bragg :
·
a) Trump n’a eu aucune relation avec Stormy
Daniels, qui a été condamnée en justice pour fausses allégations, et écrire le
contraire (ce que font tous les journaux et magazines français) est diffamer
volontairement,
·
b) Trump n’a pas versé le moindre argent à
Stormy Daniels, et écrire le contraire (ce que font tous les journaux et
magazines français) est diffamer volontairement,
·
c) Trump n’a pas utilisé le moindre dollar de
ses fonds de campagne électorale en 2016 pour payer Stormy Daniels, ce qui
découle de ce que je viens d’écrire, et écrire le contraire (ce que font tous
les journaux et magazines français) est diffamer volontairement.
Certains journalistes français
poussent le mensonge un peu plus loin que les autres. Dans le magazine Le
Point, une dénommée Claire Meynial a publié un article traitant de la
« savoureuse revanche de Michael Cohen » contre Donald Trump. Cette femme
oublie délibérément de dire que Michael Cohen n’a aucune revanche à prendre. Il
a fraudé le fisc et une banque, a trahi Trump, et il a été envoyé en prison
pour des motifs qui n’ont rien à voir avec Trump. Il a trahi Trump de manière
absolument vile en parlant au procureur Robert Mueller et en portant de fausses
accusations contre Trump aux fins de tenter d’obtenir une peine de prison plus courte :
sa peine a été alourdie parce que ses accusations contre Trump se sont révélées
fausses. Que Claire Meynial trouve « savoureux » le comportement abject d’un
criminel et d’un traitre en dit long sur elle.
On peut écrire n’importe quoi
dans la presse française dès qu’il s’agit de Trump. On peut dire n’importe quoi
sur Trump à la radio ou à la télévision française. Celles et ceux qui
pourraient rétablir les faits sont exclus.
Titre et Texte: Guy
Millière, Dreuz.info,
1-4-2023
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